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| la dent du géant vue du bivouac. |
Je me suis rendu voila déjas 3 semaines, à Chamonix avec mon frangins Guillaume. Notre objectif étant la classic et célébrissime brèche Puiseux, située dans les périades afin de préparé l'examen de skis pour l'aspirant guide une semaine plus tard et surtout la liste de course.
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| les grandes joarasses. |
Pour celas un départ matinal de Chambéry, s’imposer si nous voulions prendre la benne de l'aiguille du midi tout aussi connue que notre objectif (voir plus). Après un petit café croissant pour faire passer l’attente qui nous sépare du premier départ qui s'annonce vide. L'étape de la benne et de sont cortège de guides connus, reconnus et moins connus qui discute des conditions actuelles comme un ouvrier discuterais de sont dernier chantier, ses aussi vite que ce dernier que nous fuyons par l'arette équipée.
Les premiers virages on étés quelques peux tendus, sur une glace presque aussi bleue que la mer des caraïbe avec un sable aussi blanc. Nous avons opté pour la rive gauche de la mer de glace pour gagner un peux du temps ( ce qui se révélera utile plus tard) et surtout du dénivelé. On met les peaux, s'enfile derrière un groupe discutant de la prochaine piera menta, on rejoins les autre cordées tout en remontant le glacier des périades, nous offrant au passage une belle vue sur la face nord de la dent du géant. le couloir est bien tracé avec juste un solitaire devant nous, parfait. Nous voici au petit bivouac des périades, gracieusement offert par les cristallier. un rappel sous celle ci nous poses sur le glacier du mallet. La je trouve un piolet posé dans une fissure a penne bloqué, je le récupère en me disant que sa doit être a la cordée italienne qui nous devance. La descente fut simple et efficace pour nous posé sur le glacier de léchaud au niveaux du refuge. a cette endroit Guillaume fait une chute un peux blizzard, rechausse et repart. Je le rejoins, m'explique l’événement et nous repartons. 100m plus loin je me retourne et le voit encort le museau dans la neige me criant qu'il viens de cassé sa fixation. Effectivement, il viens tout simplement d’arracher la butée avant, on cherche tout les deux dans nos sacs si par hasard nous avions quelque chose pour remédier a ce souci, non rien du tous a part une sangle pour tenir les skis, de quoi sortir d'une crevasse et passé deux jour dans celle-ci. Notre salut viendra du groupe d'italien a qui apartené le piolet trouvé plut haut. Ils nous dépanne un bout de tournevis ainsi que du fil de fer et reparte en nous souhaitant bonne chance. La fixation entouré de fil de fer, la chaussure bloqué avec la sangle et la peux recollé pour protéger le tout, nous voici repartis ver le bas. Je tien a précisé que la vallée blanche en chasse neige, ses pas trot court. Après quelques petite sueurs sur la fin du parcourt, nous somme enfin arrivés sur le parking du montenvert qui été exceptionnellement fermer. revenus à la voiture, le premier bar trouver, nous a remis de nos émotions.
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| Les grandes Jorasses. |
Pour celas un départ matinal de Chambéry, s’imposer si nous voulions prendre la benne de l'aiguille du midi tout aussi connue que notre objectif (voir plus). Après un petit café croissant pour faire passer l’attente qui nous sépare du premier départ qui s'annonce vide. L'étape de la benne et de sont cortège de guides connus, reconnus et moins connus qui discute des conditions actuelles comme un ouvrier discuterais de sont dernier chantier, ses aussi vite que ce dernier que nous fuyons par l'arette équipée.
Les premiers virages on étés quelques peux tendus, sur une glace presque aussi bleue que la mer des caraïbe avec un sable aussi blanc. Nous avons opté pour la rive gauche de la mer de glace pour gagner un peux du temps ( ce qui se révélera utile plus tard) et surtout du dénivelé. On met les peaux, s'enfile derrière un groupe discutant de la prochaine piera menta, on rejoins les autre cordées tout en remontant le glacier des périades, nous offrant au passage une belle vue sur la face nord de la dent du géant. le couloir est bien tracé avec juste un solitaire devant nous, parfait. Nous voici au petit bivouac des périades, gracieusement offert par les cristallier. un rappel sous celle ci nous poses sur le glacier du mallet. La je trouve un piolet posé dans une fissure a penne bloqué, je le récupère en me disant que sa doit être a la cordée italienne qui nous devance. La descente fut simple et efficace pour nous posé sur le glacier de léchaud au niveaux du refuge. a cette endroit Guillaume fait une chute un peux blizzard, rechausse et repart. Je le rejoins, m'explique l’événement et nous repartons. 100m plus loin je me retourne et le voit encort le museau dans la neige me criant qu'il viens de cassé sa fixation. Effectivement, il viens tout simplement d’arracher la butée avant, on cherche tout les deux dans nos sacs si par hasard nous avions quelque chose pour remédier a ce souci, non rien du tous a part une sangle pour tenir les skis, de quoi sortir d'une crevasse et passé deux jour dans celle-ci. Notre salut viendra du groupe d'italien a qui apartené le piolet trouvé plut haut. Ils nous dépanne un bout de tournevis ainsi que du fil de fer et reparte en nous souhaitant bonne chance. La fixation entouré de fil de fer, la chaussure bloqué avec la sangle et la peux recollé pour protéger le tout, nous voici repartis ver le bas. Je tien a précisé que la vallée blanche en chasse neige, ses pas trot court. Après quelques petite sueurs sur la fin du parcourt, nous somme enfin arrivés sur le parking du montenvert qui été exceptionnellement fermer. revenus à la voiture, le premier bar trouver, nous a remis de nos émotions.
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